Le Team

Anja Kollmuss travaille depuis bientôt 25 ans dans le domaine de la protection du climat. Elle a notamment étudié les marchés du carbone et les systèmes d’échange de CO2 et conseillé les gouvernements et les ONG sur ces instruments politiques. Elle a étudié la gestion environnementale et la politique climatique aux États-Unis (Harvard et Tufts University). Anja a travaillé à Boston pour le Stockholm Environment Institute, à Bruxelles pour le Climate Action Network Europe et à Berlin en tant que politologue indépendante. Après son retour en Suisse en 2018, elle a travaillé pour swisscleantech et a suivi en parallèle une formation d’enseignante primaire. Aujourd’hui, elle travaille comme enseignante et s’engage toujours pour la protection du climat. Depuis 2019, elle écrit le journal du climat.

Thomas Schenk travaille depuis de nombreuses années comme rédacteur et auteur indépendant. Après des études de gestion des entreprises à Saint-Gall, son intérêt pour le monde et la nature l’a conduit dans différents endroits : en tant que journaliste à la NZZ et à Facts, dans une agence de communication, comme conducteur de tramway à la VBZ, à l’université de Bâle pour un master en développement durable, à swisscleantech, et à la coopérative maraîchère zurichoise Pura Verdura — qu’il a contribué à créer et à développer. Quand il n’écrit pas, il s’engage auprès de Pro Natura Berner Oberland ou se promène avec ses jumelles pour observer les oiseaux. Il participe depuis 2020 à la rédaction du Journal du climat.

Sébastien Breer est politologue et a étudié à Osnabrück, Bratislava et Berlin. Il est diplômé en études européennes (B.A.) et en économie politique de l’intégration européenne (M.A.). Pendant ses études, il s’intéressait déjà aux thèmes du climat et de l’énergie, avec un accent sur la gouvernance de la politique énergétique de l’UE. Il a travaillé dans le département politique et affaires réglementaires de l’entreprise énergétique EnBW, avant de rejoindre l’organisation de protection de la nature WWF Allemagne, après un passage dans un cabinet de conseil politique FleishmanHillard. Depuis, il y travaille en tant que conseiller politique, où il s’occupe intensivement des questions actuelles dans le contexte de la politique climatique et énergétique allemande.

Ghjulia Sialelli est doctorante en informatique appliquée aux sciences environnementales à l’ETH Zürich, et membre de la Student Sustainability Committee (SSC). La protection de l’environnement est un sujet qui lui tient à cœur depuis de nombreuses années, tout comme les sujets de justice climatique et de santé mentale. Elle participe depuis 2022 à la traduction en français du journal du climat.

Pourquoi écrivons-nous le journal du climat ?

La quantité d’informations sur la politique et les sciences climatiques est énorme. Garder une vue d’ensemble, c’est-à-dire filtrer et classer les informations essentielles, est difficile et demande beaucoup de temps. De nombreuses personnes ne disposent pas de ce temps.

C’est pourquoi le Journal du climat existe. Il résume les principaux choix politiques, les événements climatiques et les connaissances. Fondé sur des faits. Compréhensible. Indépendant.

Pour ce faire, nous consultons des centaines de publications, de newsletters et d’articles en ligne. Tous les deux mois, nous publions des informations pertinentes sur la Suisse, l’Europe et le monde.

Notre public cible est constitué de personnes qui souhaitent se tenir au courant des discussions sur la crise climatique. Nous pouvons ainsi aider nos lecteurs à s’impliquer. Et de s’engager d’une manière ou d’une autre pour la protection du climat, c’est-à-dire pour notre avenir.

Qui finance le journal sur le climat ?

Myclimate prend en charge une grande partie des coûts du journal climatique. L’organisation n’exerce aucune influence sur le contenu.

Le reste des frais est à notre charge. Tu veux en prendre une partie en charge ? Biontôt tu peux nous soutenir financièrement.  Les informations suivront bientôt.